Trait agressif, regards expressifs, fonds envahis par une cendre oppressante, encrage profond, contrastes puissants, et même les gaufriers de certaines pages (parfois irréguliers, parfois carrément absents dans plusieurs enchaînements de cases), chaque choix de dessin, chaque étape, chaque trait semble pensé pour susciter une émotion forte, collant parfaitement au récit et à l’univers de « la Route », que ce soit dans les moments de danger ou dans les moments plus intimes que partagent père et fils.
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LesAmisdelaBD