merci à tous d'être venus sur mon blog et mon recueil pour compatir à ma douleur.
je sais combien il est difficile d'écrire des mots dans de tel circonstance mais tout vos commentaires à mon égard me touche au plus profond de mon coeur.
C'est une belle chaine d'amitié et je vous en suis très reconnaissante.
Merci d'avoir apaiser ma peine ,d'être près de moi et de m'entourer de votre tendresse , je n'oublierai jamais .

Merci à mon adorable lili et dom d'avoir participer à mon recueil de condoléances .

Merci du fond du coeur

http://soutienaayala.eklablog.com/

ils sont là et me font mal
non pas qu'ils soient mauvais
au contraire c'était le bonheur
et ils laissent place à la tristesse

les souvenirs sont là
c'est tellement de joie
et pourtant tout en moi
me fait broyer du noir

mes larmes coulent toutes seules
elle glissent et mes yeux se ferment
les images défilent, ce sont des souvenirs
et il n'y en aura plus d'autres

leur livre s'est refermé
mais j'ai la clé
et dans mes pensées
je vais souvent fouiller

et c'est ainsi que je poursuis ma vie
en écrivant leur vie petit à petit
pour que chacun se souvienne
qu'ils sont partis mais qu'ils sont ici

les souvenirs reviennent
ils me font mal, non pas parce qu'ils sont mauvais
bien au contraire, parce qu'ils me permettent
de continuer à vivre avec ceux que j'aime

les souvenirs qui sont gravés dans ma tête
j'aimerai tellement leur faire prendre vie
alors je n'ai trouvé qu'une manière
écrire leur histoire et les faire revivre

Pour nos rêves qui tombent des nues
Noyés sous la pluie du temps perdu
Nos cœurs de glace qui cassent
De guerres si lasses, si lasses

Je prie les dieux, moi qui ne crois plus personne
Je prie les dieux pourtant de croire
Pour cet ange blessé
Je prie le ciel
De lui rendre ses ailes

Pour nos âmes meurtries
D'avoir trouvé
Au seuil de notre vie
Portes fermées
Pour nous pauvres imbéciles
Y a-t-il une vie
Encore avant la mort

Je prie les dieux, moi qui ne crois plus personne
Je prie les dieux pourtant de croire
Pour cet ange blessé
Je prie le ciel
De lui rendre ses ailes

Je prie les dieux, moi qui ne crois plus en rien
Je prie les dieux de lui tendre la main
Pour cet ange presque mort

Toi qui es là
Qu'il fasse gris ou soleil
Qu'il pleuve ou qu'il neige
Tu es mon ami

Toi avec qui je partage
Mes rires et mes larmes
Mes angoisses et mes joies
Tu es mon ami

Toi qui m'apportes réconfort et tendresse
Qui me pardonnes mes faux pas
Qui me tends la main pour me relever
Qui m'écoutes et me donnes conseils

Sans rien m'imposer
Tu es mon ami
Toi qui sais ce que je vaux
En creusant sous les apparences
Toi qui m'aimes sans me juger
Voilà ce qu'est l'amitié

Le sentiment d'être abandonné,
Par un être qui s'est envolé,
Qui vous a laissé tomber,
Une envie de pleurer.

Je ne peux me relever,
Je ne fais que trébucher,
N'arrive même plus à rêver,
Les larmes ne font que couler.

Si seulement il existait des mots
Qui sauraient te raconter
je trouverais les plus beau
ceux qui ne peuvent rien briser

Je les placerais devant toi
sur une tendre mélodie
et ils t'exprimeraient ce que moi
je n'ai encore jamais dit
de la tendresse, de la douceur
Ils sont le lien qui nous unit
car j'y ai trouvé dans ton cœur
un amour infini

Pourquoi donc cette solitude
d'un cœur qui a tant souffert
vient blesser les habitudes
comme si elles ne savaient que faire

Ce matin je pense à toi
et les mots dansent devant mes yeux
j'aimerai être là
plus un seul mot rien que nous deux

Dans le silence de chaque mot
Il y a tant de paroles et d'amour
que tout ce que mon cœur trouve beau
grandit chaque jour

Y'a des souffrances qui pèsent des tonnes
Et pour ne pas que tout espoir nous abandonne
On joue le rôle de celui pour qui tout va bien
Pourvu que les autres n'en sachent rien

On fait au mieux pour sauver la face
Pour que notre entourage ignore par où l'on passe
On rit, on danse, on fait les fous
Comme à Venise, mais quoi qu'on fasse
Mais quoi qu'on dise
Les blessures qui ne se voient pas
Nous font du mal bien plus que toutes les autres
On les enferment au fond de soi
Mais est-ce que toute une vie on les supporte

L’orgueil nous aide à tenir le coup
Apparemment on pourrait même faire des jaloux
C'est à nous même que l'on se joue
La comédie pour s'inventer qu'on est guéri

Les blessures qui ne se voient pas
Me font du mal bien plus que toutes les autres
On les enferment au fond de soi
Mais est-ce que toute une vie on les supporte ?
Et ces blessures la
Qui ne se voient pas
Y'a des souffrances qui pèsent des tonnes
Et pour ne pas que tout espoir nous abandonne
Il faut se dire que tôt ou tard on va guérir

Les blessures qui ne se voient pas
Parfois elles semblent avoir perdu nos traces
Et quand on ne s'y attend pas
Et sans que jamais les autres le sachent
Elles remontent à la surface
Et nous fusillent une fois encore

Les blessures qui ne se voient pas
Qui nous font mal
Bien plus que toutes les autres

*